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Examinez toutes choses; retenez ce qui est bon (1 Thessaloniciens 5:21)
Lors de cette analyse de « toute chose » je suis amené à des réflexions que je vous transmets sur ce site. Quelques réflexions ont été écrites d’abord en italien sur mon site www.denoe.ch/ita et ensuite traduites. Il est possible que certains arguments sont traités surtout en italien et vice-versa : je tache de me laisser conduire par le Saint-Esprit en toute chose et de ne pas écrire ce que je veux mais ce que Dieu me dit d’écrire et de publier, même si des fois je n’aurai pas publié certains articles dans le but d’éviter toute polémique inutile. Veuillez donc me pardonner si certaines traductions ou rédactions ont été faites rapidement : le site n’est pas encore complet ou terminé.
Analysez toute chose ! Lisez les articles en demandant l’aide de l’Esprit pour qu’Il vous guide dans chaque lecture et chaque réflexion. Partagez vous pensées en commentant les articles sans oublier que le but du partage doit être la croissance, l’édification réciproque et pas la destruction ou la dénonciation de ce qui, au premier abord, peut sembler faux.
Retenez ce qui est bon ! Il est inutile de se focaliser uniquement sur ce que l’on n’approuve pas mais retenez ce qui est bon et ce qui va nous aider mutuellement dans notre marche de foi. L’accusateur vient du diable, le créateur vient de Dieu.
Je ne diffuse aucune doctrine, aucune religion mais j’invite seulement chacun à l’analyse et à la réflexion.
Ismaël Gargiulo
Excellente réflexion sur la loi et la grâce, mais…
Très bonne réflexion sur la loi et la grâce, bien fondée bibliquement ! Dommage qu'elle se permet en un endroit de déterminer quels commandements peuvent contenir des principes encore valable aujourd'hui. Cette autorité n'appartient qu'au Législateur seul (éventuellement aussi à Rome, si l'on est catholique romain…). Au Ve siècle, plus de 100 ans après la fameuse loi dominicale de l'Empereur "chrétien" Constantin, la totalité de la chrétienté se réunissait encore pour adorer le septième jour, le samedi, comme le prouve ce document historique authentique : «Bien que toutes les sociétés chrétiennes du monde célèbrent les saint mystères [la Cène, le culte] tous les Samedis de chaque semaine, les fidèles d’Alexandrie et de Rome [déjà…] ne les célèbrent point ce jour-là, selon une ancienne tradition. Les Égyptiens qui sont voisins d’Alexandrie et ceux qui habitent la Thébaïde [Thèbes] s’assemblent le Samedi, sans toutefois participer aux saints mystères de la manière que les chrétiens ont coutume d’y participer : car après avoir mangé et s’être remplis de toute sorte de viandes, ils offrent le Sacrifice et communient sur le soir [samedi soir : ce qui évoque les traditions juives de clôture du shabbat]. Le Jeudi et le Vendredi, que l’on appelle la préparation, c’est-à-dire la veille du jour du sabbat, on lit la Sainte Écriture dans l’Église d’Alexandrie, les Docteurs l’expliquent et on fait tout ce que l’on a coutume d’observer dans les assemblées, excepté que l’on ne participe pas aux Saints Mystères. » Socrate le Scolastique, Histoire ecclésiastique, p. 360, vers 440 de notre ère. Ce document souligne aussi l'influence du gnosticisme sur la Cène et l'autoritarisme naissant de l'évêque de Rome.