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La peur qui fait suivre les indications du diable - complet

J’aimerais vous accueillir avec les paroles de Jésus:

Jean 14:27 Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix. Je ne vous donne pas comme le monde donne. Que votre coeur ne se trouble point, et ne s'alarme point.

 

La paix que Jésus donne est pour tous mais souvent nous ne l’avons pas: la peur vient nous voler cette paix. Je vais donc vous parler de la peur et de la crainte et comment cela peut conditionner nos actions dans le quotidien.

On a tous peur de quelque chose mais souvent on ne s’en rend pas compte: dés tout petit un enfant commence à mentir dans la peur d’une punition ou d’avoir la désapprobation des parents. Plus tard ce sera la peur de ce que pensent les autres et cela va conduire à s’habiller comme les copains, à fumer comme eux, à faire les mêmes choses: la peur du rejet…

Ensuite il y aura la peur du chômage, la peur de vieillir, la peur du cancer, etc, toutes des peurs qui vont conditionner nôtres attitudes tout au long de notre vie.

 

Dernièrement il y a eu les élections fédérales qui se sont terminées par une grande victoire de l’UDC qui a remporté 11 sièges supplémentaires au National. Pourquoi cette victoire? Simplement parce que aux électeurs habituels se sont ajoutes des milliers d’autres personnes (certains parlent de 15'600 personnes) qui, subitement, ont voté UDC. Pourquoi elles l’ont fait? Elles avaient probablement peur de l’immigration…

Donc Jésus veut qu’on aille annoncer la bonne nouvelle partout, évidemment le diable ne veut pas, il fait en sorte qu’on n’aille pas partout, ni même tout près, et quand il y a des immigrés qui devraient venir, il donne la peur de sorte qu’on ne le fasses pas venir …

 

La peur peut conditionner nos choix et nos actions au le quotidien! Cela ne veut pas dire que qui vote UDC le fait pour la peur car on peut voter n’importe quel parti ou faire n’importe quelle chose dans la vie sur la base d’une crainte.

 

Certains vivent dans des pays où il y a la guerre ou la persécution: nous avons le privilège de ne pas vivre ces situations difficiles et pourtant nous avons tous peur, d’une chose ou d’une autre.

Toutes ces peurs influencent nos choix, nos attitudes et notre vie. Il a été démontré que ceux qui avaient peur du cancer avaient plus de chances de le contracter, en fait c’est comme ce que dit Job

Job 3:25 Ce que je crains, c'est ce qui m'arrive; ce que je redoute, c'est ce qui m'atteint.

Job avait peur de perdre sa famille, ses biens, sa santé et cela lui est arrivé! Son exemple doit nous servir à ne pas faire pareil, à ne pas nous laisser influencer par la crainte…

 

Souvent ces peurs nous amènent à faire quelque chose de mal, quelque chose qui n’est pas la volonté de Dieu ou quelque chose qui va nous mettre en danger.

Je me souviens que, quand j’étais petit, j’avais peur du noir. Pour aller à la salle de bains de devais traverser un long corridor. J’allumais la lumière mais je devais passer devant deux chambres sombres ou la porte était ouverte mais la lumière du corridor n’entrait pas. Alors je prenais mon élan et je courais jusqu’à la salle de bains pour pouvoir allumer la lumière. En général la porte de la salle de bains était ouverte mais un jour elle ne l’était pas: j’ai tapé contre la porte, qui était en verre, et elle s’est brisée en mille morceaux. Heureusement je ne me suis pas fait mal mais j’ai été grondé et j’ai dû repayer la vitre …

 

Ce n’est pas ce que je craignais qui m’est arrivé car il n’y avait rien dans le noir, par contre la peur m’a conduit vers un autre danger. La peur nous amène donc à faire des choses qu’on n’aurait pas faites autrement et à suivre une direction qui souvent n’est pas celle de Dieu.

 

Quand la peur nous amène à faire quelque chose c’est un peu comme halloween: les enfants se déguisent avec des masques qui font peur afin d’obtenir quelque chose en retour: des bonbons.

Or celle-ci est l’attitude du diable qui, quand il ne nous tente pas, il essaye nous faire peur pour obtenir des choses de notre part et nous amener loin de la volonté de Dieu: je te fais peur et ainsi je conditionne ce que tu vas faire!

 

Le diable envoie la peur et la crainte pour nous conditionner et pour qu’on le laisse tranquille et pour qu’on n’accomplisse pas la volonté de Dieu. Par exemple Jésus a dit d’être ses témoins et d’annoncer la bonne nouvelle à toute la création:

Marc 16:15 Puis il leur dit: Allez par tout le monde, et prêchez la bonne nouvelle à toute la création.

Souvent on ne le fait pas: la peur de déranger, de passer pour fou, la timidité, ils ne croient pas …

 

Le diable utilise ces peurs et souvent nous fait pécher là où on n’ose pas en parler, là où la crainte va nous retenir prisonniers. Il nous manipule par la peur et c’est un peu comme si chaque fois qu’on suivait ses conseils, on lui donnait des bombons.

Je pense qu’on est tous confrontés à des situations ou on a peur et ou on n’ose pas faire quelque chose. Je sais que trop souvent mon attitude aussi a été influencée par la peur.

On peut être très courageux et dire: je n’ai pas peur de la souffrance, de mourir, que mes enfants meurent, d’être blessé dans la chair, de tout perdre mais on peut avoir peur d’avouer des blessures du passé, peur de déranger … On est tous esclaves de la peur, d’une façon ou d’une autre!

 

La peur conditionne nos comportements et il y a plein d’histoires qui le prouvent: surement chacun peut décrire un évènement ou la peur a conditionné son choix.

J’ai entendu l’histoire d’une église qui a déménage à cause d’un club de New Age qui s’était ouvert dans les environs car il leurs faisait des « interférences »… Souvent la peur nous conduit à fuir plutôt que s’investir et amener le bien.

 

Quand on connait cela on comprend facilement que c’est à nous de ne pas être influencés par l’ennemi, de ne pas rester dans la peur mais de se confier en Dieu

Il faut vaincre les circonstances par le courage: changer la situation plutôt qu’en être influencé: c’est à nous d’être la lumière qui chasse les ténèbres.

Matthieu 5:14-16 Vous êtes la lumière du monde. Une ville située sur une montagne ne peut être cachée; 15 et on n'allume pas une lampe pour la mettre sous le boisseau, mais on la met sur le chandelier, et elle éclaire tous ceux qui sont dans la maison. 16 Que votre lumière luise ainsi devant les hommes, afin qu'ils voient vos bonnes oeuvres, et qu'ils glorifient votre Père qui est dans les cieux.

 

Jésus nous donne la paix: nous avons cette certitude

Philippiens 4:6-7 Ne vous inquiétez de rien; mais en toute chose faites connaître vos besoins à Dieu par des prières et des supplications, avec des actions de grâces. 7 Et la paix de Dieu, qui surpasse toute intelligence, gardera vos coeurs et vos pensées en Jésus-Christ.

 

Que la paix de Dieu soit sur chacun de nous, aujourd’hui et tous les jours, afin que nous actions reflètent la volonté de Dieu et ne soient pas conditionnées par la peur.

Que toute crainte soit ôtée de nos cœurs et que la volonté de Dieu s’accomplisse dans nos vies !

Au nom de Jésus

 

Mon seul abri JEM 354

 

Mon seul abri, c'est toi,

Toujours mon coeur te chantera,

Car tu me délivres

Et chaque fois que j'ai peur

Je m’appuie sur toi,

 

Je m’appuie sur toi,

Et dans ma faiblesse,

Le Seigneur me rend fort.

 

 

Le courage qui chasse la peur

 

Jésus est notre seul abri: chaque fois qu’on s’appuie sur lui il nous délivre.

Souvent nous passons à coté de cette réalité: on ne croit pas que Jésus agit car on ne le voit pas tout de suite ou comme on voudrait.

 

Aujourd’hui je vais vous partager une partie de mon vécu car je m’en suis souvenu ces temps et cela m’a encouragé. Je n’avais pas envie de parler de cela mais je me suis dit : si je n’en parle pas, c’est un peu comme si je donnais un bonbon alors j’ai décidé d’en parler.

C’est toujours plus facile de partager quelque chose qui ne nous concerne pas et qui peut sembler plus captivant. Or quand on parle de soi, des pensées comme «Ce ne sera pas intéressant», «Tu ferais mieux de raconter autre chose» peuvent nous assaillir mais cela ne doit pas enlever une conviction qu’on a de faire quelque chose qui, au fond, n’est rien de mal…

 

Il y a de nombreuses années, avant que tout le monde aie des téléphones portables, il existait des cabines téléphoniques publiques. Au début il fallait mettre de la monnaie pour pouvoir téléphoner mais ensuite on a inventé des cartes prépayées pour pouvoir téléphoner: les cartes téléphoniques. Très vite ces cartes ont commencé à avoir des images publicitaires et à devenir des objets de collection.

Je fais partie de ceux qui ont commencé à faire la collection des cartes téléphoniques et cela m’a amené à faire, tous les jours, le tour des cabines téléphoniques de ma région. Ma motivation était tellement grande que je faisais 2 fois 20 km par jour, été comme hiver et, pendant les vacances estivales, je faisais même 2 fois 35 km par jour. Cela me prenait entre 2 et 4 heures par jour mais ainsi j’ai pu me faire une très belle collection. Je notais chaque jour ce que je trouvais de façon que je pouvais connaitre de combien de cartes était composée ma collection et combien de doublons j’avais. J’avais plus que 18’000 cartes mais seulement un millier différentes. La plus part ne valaient pas grand-chose mais j’ai trouvé aussi des cartes rares qui, à l’époque déjà, valaient plusieurs centaines de francs.

Ce qui m’interpelle de cette période est la motivation que j’avais pour sortir régulièrement, tous les jours, même quand il pleuvait. Je vivais dans le sud de l’Italie et il n’y avait jamais de neige l’hiver donc je pouvais sortir tous les matins avant d’aller à l’école (entre 5h et 6h30) puis ensuite pendant la pause de midi. Les seules fois ou je ne sortais pas c’est quand il pleuvait très fort et de façon continue.

Je me suis donc dit: Quand on est motivé pour faire quelque chose on peut le faire très bien! Par contre on a souvent plus de motivation pour soi-même que pour les autres ou même pour Dieu.

 

Aujourd’hui pourquoi je me suis souvenu de cela? La raison est que maintenant je veux m’investir pour Jésus, pour parler de Lui, pour annoncer la bonne nouvelle et cela demande tout d’abord du temps. Ensuite il faut du courage, le courage d’aller déranger les gens, de leur parler de choses qui ne les intéressent pas et les déranger dans leur routine.

Je me suis rendu compte que j’avais plus de motivation quand je faisais quelque chose pour moi, quand je pouvais compléter mon album mais Dieu a aussi des noms à écrire dans son livre et il compte sur moi, sur nous, pour le faire.

Or, bien que je veuille œuvrer pour Lui, je me rends compte maintenant que ce n’est pas facile et que la motivation n’est pas la même et pourtant je veux atteindre l’objectif que Dieu me demande.

 

Maintenant vient le coté moins glorieux de mon histoire mais c’est là ou j’ai pu me rappeler mon courage. Il faut savoir que les cartes téléphoniques ne se trouvaient pas seulement sur les téléphones mais que généralement celui qui avait épuisé sa carte, allait la mettre à la poubelle. Mon parcours à vélo n’était donc pas uniquement les téléphones mais aussi les poubelles à proximité.

Si aujourd’hui j’essaie de me souvenir de ce que je faisais, je me souviens uniquement du courage que j’avais: le matin c’était tranquille mais durant la pause de midi il y avait du monde et, sans gêne, j’allais ouvrir les poubelles pour regarder dedans, fouiller un peu avec les mains et repartir… J’avais entre 16 et 20 ans, je risquais de rencontrer des personnes que je connaissais, des camarades d’école ou des professeurs mais j’avais le courage d’aller de l’avant car j’avais cette forte motivation.

En Suisse les poubelles étaient généralement petites, pas trop pleines et avec une grille permettant de voir à l’intérieur. En Italie ce n’était pas le cas: j’habitais dans une zone très touristique, les poubelles étaient de 35 ou 60 litres, toujours pleines et sans visibilité. J’étais obligé de les ouvrir et de tirer le sac poubelle pour voir au fond: je me faisais remarquer. En plus il y avait souvent des boissons ou des glaces qui avaient coulé et les cartes étaient sales. Je les prenais délicatement et j’avais des pattes attachées au guidon pour les nettoyer: ce n’était pas très discret.

Devant les gares c’était dur: il y avait beaucoup de téléphones mais aussi beaucoup de passages et de personnes en attente, sans compter les chauffeurs de taxi. Et pourtant j’y allais: quand on veut faire quelque chose de bien il faut prendre le risque et je le prenais.

 

Surement qu’au début j’ai du hésiter quand il y avait quelqu’un qui pouvait me voir mais ensuite le courage est venu et j’ai uniquement des souvenirs de victoires. Je ne me souvient plus des fois ou je n’ai pas osé regarder ou ouvrir une poubelle: non, aujourd’hui j’ai uniquement des souvenirs d’hardiesse et de courage et pourtant je suis sûr que ça n’a pas été toujours comme ça.

 

Maintenant je pense à cela car je dois avoir le courage d’aborder les gens dans la rue, de parler avec eux de Jésus, de leur proposer de prier avec eux… Actuellement j’ai bien plus d’échecs que de victoires mais j’ai compris que le courage ne vient pas d’un coup mais il faut persévérer, gentiment, un pas après l’autre. Peu à peu on va remporter des victoires, la foi va augmenter et enfin il arrivera un jour ou les victoires seront tellement nombreuses qu’on ne se souviendra même plus des échecs. Mais pour cela il faut que les victoires soient plus nombreuses que les échecs et donc il faut continuer et continuer.

 

Longtemps j’ai été interpellé par les paroles de Jésus: les signes qui accompagneront ce qui auront cru. Je me disais si j’ai cru dans la vérité je dois manifester ces signes, autrement je n’ai pas cru dans la vérité.

Marc 16:17-18 Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru: en mon nom, ils chasseront les démons; ils parleront de nouvelles langues; 18 ils saisiront des serpents; s'ils boivent quelque breuvage mortel, il ne leur fera point de mal; ils imposeront les mains aux malades, et les malades, seront guéris.

J’ai enfin compris que j’ai ma part à faire: si personne n’impose les mains, Jésus ne va pas intervenir. Il faut donc aller là où il y a le besoin, là où Jésus nous guide afin qu’il puisse agir mais pour cela il faut faire le premier pas: tout le monde peut le faire car chacun a reçu la mesure de foi nécessaire pour ce premier pas.

Croire ce n’est pas rester à attendre mais c’est croire qu’il faut faire sa part et qu’ensuite Jésus va agir. Jésus a dit d’imposer les mains aux malades et les malades seront guéris: le diable a semé la peur et ensuite sur cela on s’est construit des faussées idées (ce n’est plus la volonté de Dieu de guérir, la guérison c’est uniquement pour certains, … ).

 

Souvent on ne voit pas de résultats et pour ça on ne persévère pas et on abandonne. Or, tout comme j’avais le courage de mettre la main dans une poubelle quand il n’y avait rien, le courage de ressortir les mains d’une poubelle sans rien, devant le regard des autres, pareillement il faut avoir le courage d’imposer les mains à un malade même si rien ne se produit tout de suite.

Imposer les mains est une action qui doit être faite car c’est un ordre de Dieu: ma part est de faire le début, c’est Lui qui fera le reste. Je dois donc continuer d’agir selon l’ordre de Dieu, même si je ne vois pas de résultat car ce sera un acte d’obéissance qui sera honoré tôt ou tard.

 

La peur doit être vaincue par le courage que nous donne Dieu. Ce courage il ne faut pas l’attendre mais il faut le saisir. Paul nous parle de sa crainte de ses tremblements, de sa peur, mais il a annoncé la parole et Dieu agissait en confirmant les paroles qu’il prononçait: s’il ne les prononçait pas, l’Esprit de Jésus n’agissait pas!

1 Corinthiens 2:1-5 Pour moi, frères, lorsque je suis allé chez vous, ce n'est pas avec une supériorité de langage ou de sagesse que je suis allé vous annoncer le témoignage de Dieu. 2 Car je n'ai pas eu la pensée de savoir parmi vous autre chose que Jésus-Christ, et Jésus-Christ crucifié. 3 Moi-même j'étais auprès de vous dans un état de faiblesse, de crainte, et de grand tremblement; 4 et ma parole et ma prédication ne reposaient pas sur les discours persuasifs de la sagesse, mais sur une démonstration d'Esprit et de puissance, 5 afin que votre foi fût fondée, non sur la sagesse des hommes, mais sur la puissance de Dieu.

 

Je veux donc prêcher cette bonne nouvelle de Jésus, poser la main sur les malades et, chaque fois que je le fais, je remporte la victoire sur les craintes et les liens que le diable avait semés.

 

Le diable rugit, veut nous faire peur pour nous amener dans sa direction: c’est à nous d’être plus malins que lui, de confesser au grand jour les œuvres des ténèbres, de ne pas avoir peur d’en parler et de demander de l’aide si on n’arrive pas à s’en sortir mais dans tous les cas il faut prendre le courage que Jésus donne afin d’aller de l’avant.

1 Pierre 5:8 Soyez sobres, veillez. Votre adversaire, le diable, rôde comme un lion rugissant, cherchant qui il dévorera.

Le diable rugit cherchant qui dévorer mais il ne dévore pas directement: il peut le faire uniquement quand on suit ses directives, guidés par la crainte.

 

Nous avons donc un choix à faire: être dans la crainte et suivre les conseils du diable ou être dans la paix et suivre les directives de Dieu. Chaque fois qu’on fait quelque chose en ayant comme motivation la peur, c’est comme si nous donnions des bonbons au diable.

Quand on a des décisions à prendre on peut réfléchir et se dire:

  • la peur me dit de mentir, je ne vais pas donner de bonbons au diable
  • la peur me dit de ne pas déranger, je vais déranger et parler de Jésus
  • la peur me dit de ne pas aller, Jésus me donne sa force et je vais aller

 

Chaque fois que je suis dans la paix que Jésus donne, alors je sais que je suis dans la bonne direction.

On peut souffrir et ne rien dire à cause de la peur, on peut être abusés et ne rien dire, on peut avoir peur de faire souffrir un proche mais tant qu’on sera à côté de la volonté de Dieu, on n’aura pas de paix. Jésus est la et il veut aider chacun mais il attend que nous fassions un premier pas.

Même si la situation peut sembler impossible il y a encore de l’espoir car rien n’est impossible à Dieu: il nous aime, il t’aime et il veut changer cette situation qui semble impossible. Il y a toujours de l’espoir, même quand il semble que c’est impossible. Des fois le premier pas est de demander de l’aide à Dieu: je n’avais pas le courage d’annoncer la bonne nouvelle, j’en ai parlé à Dieu et, au moment venu, il m’a ouvert les portes. Pas forcément tout de suite, il faut savoir attendre tout en restant dans la foi et la confiance.

 

Personne n’arrive du jour au lendemain à vivre sans être influencé par la crainte et je suis conscient que je fais encore des choses guidées par la crainte mais je sais que Jésus est avec moi, qu’il ne me reproche pas mes erreurs, qu’il ne condamne pas pour mes échecs mais qu’il veut m’aider et aider chacun dans toutes circonstances.

 

Alors ce que je retiens aujourd’hui c’est, quand il y a des choix à faire, il faut réfléchir si notre choix est dicté par la peur ou si, au contraire, on a la conviction de faire quelque chose de bien pour Dieu.

Chacune de nos décisions doit être guidée par l’amour: l’amour envers Dieu pour ce qu’il a fait pour nous et l’amour pour notre prochain. Plus on a de l’amour, moins on va être centrés sur nous, sur nos craintes, mais on va comprendre comment agir.

Nous ne sommes plus sous la loi avec des obligations à faire mais c’est l’amour qui va nous motiver à avancer et cet amour va chasser la crainte.

1 Jean 4:18 La crainte n'est pas dans l'amour, mais l'amour parfait bannit la crainte; car la crainte suppose un châtiment, et celui qui craint n'est pas parfait dans l'amour.

 

Ensuite il faut se souvenir que le courage ne vient pas tout d’un coup: c’est comme si Dieu nous donnait une petite mesure de courage et, tant qu’on l’a pas utilisée, on ne va pas en recevoir plus. Par contre, dès le moment où on l’utilise, dès le moment où on fait un pas en avant, alors on va recevoir une autre mesure de courage pour faire le pas suivant et ainsi de suite jusqu’au jour où on ne se souvient plus des difficultés du début, on ne se souvient plus des échecs du passé mais on verra seulement les victoires qu’on a obtenu.

 

Je veux donc remercier Jésus pour le courage qu’il nous donne, à chacun selon ce qu’il a prévu, pour notre bien.

Qu’on puisse utiliser le don qu’on a reçu et qui est en nous afin d’aller de l’avant, un pas après l’autre et remporter des victoires pour la gloire de Dieu.

 

Merci Jésus d’être patient envers chacun de nous, malgré nous erreurs, et merci de nous aimer constamment, même quand on n’arrive pas à faire ta volonté

Tu es pour nous comme un père qui nous guide dans notre croissance et qui nous aime dans toute circonstance.

 

 

 

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